votre visite.

S n o w f l a k e s @ M o n P i e r r o t

Le Féminisme, partie I

Le féminisme,   première partie

Je t'attends, tu m'attends

 

 Cela à été éternellement long. Je ne sais pas comment te dire. Je te parle. Tu m'inspire, et tu m'instruis. Peu importe pour quoi et comment. J'ai eu confiance. Parce que vous m'avez montré que l'amour grimpe. L'amour existe aussi. Vraiment je ne m'en doutais pas. Au lieu de comprendre toutes les formalités. Vous m'avez mis à l'aise. J'ai compris et j'ai pensé avoir tout compris. Mais voilà que j'ai appris à recommencer. Jusqu'au jour ou vous m'avez dit ceci. Tu réussis.

Je n'y comprends que ce que l'on veut bien comprendre. Mais on avance ou est-ce que l'on vieillit. Je ne veux pas vieillir comme cela. Pas avec ces marques sur mon visage. Je n'avais pas compris cela. Dans quel monde on vit. Je savais un peu qu'il y en a qui vivent bien dans leur monde à eux. Vous avez voulu croire aussi. C'était bien le nôtre. Est-ce que c'est parce que je vous ai cru. Est-ce que c'est parce que j'ai vu le ciel. J'ai pensé qu'il y a vraiment un monde au-dessus de moi. Pour moi je résous bien un grand problème. Je ne comprenais pas. Je m'en souciais parce que l'on me donnait des formes d'ordres par-là. Je ne suis pas certaine que c'était mes parents ou ma famille. C'était visiblement une partie de moi. Je sais aussi que le monde est tellement grand. Que c'est vraiment rien du tout que de penser qu'il y a quelqu'un de très grand au-dessus de nous. Si on fait une erreur comme celle la, à nos pieds. Alors il y aura toujours quelqu'un qui nous ramasse. J'ai fait mon bon sens comme cela. J'ai toujours respecté et protégé ce qui était plus grand que moi.

Un jour vous m'avez bien démontré que c'était une partie de moi aussi. Je suis resté étonné. C'est vrai ce que je vous dis.

JE ME SUIS MIS À TRAVAILLER. COMPRENDRE COMBIEN Est le pourcentage dont ON PeuT OCCUPER LES CIEUX ET LES PLUS GRANDS QUE NOUS. ENSUITE J'AI BIEN ÉCOUTÉ MA MÈRE lorsqu’elle, ME PARLAIT DE SES MERVEILLES À ELLE. ALORS IL FALLAIT BIEN QUE QUELQU'UN DISE VRAI ICI. J'ai raconté des MILLIERS D’HISTOIRES. J'EN AI PROBABLEMENT LU AUTANT. JE ME dis À CE MOMENT LÀ, JE peux PROBABLEMENT FAIRE PARTI DE CE GRAND MONDE LÀ. UN JOUR EN ME RAMASSANT. ON ME DIRAIT QUE CELA FAIT LONGTEMPS QUE NOUS attendons CE MOMENT.

Voici une autre histoire épatante. C'est que nous, nous sommes habitués. À construire tout le temps dans nos jeux d'enfants. Nous avions à faire tous les jours nos exercices et nos promenades. Nous devions étudier fort, et travailler pour être les plus sages. Parce dans nos jeux c'était vraiment ceux qui gagnaient.

Un jour ma grand-mère me disait qu'elle gagnait souvent. Plein de cadeaux, qu'elle collectionnait pour moi. Puis on m'en remettait quelques-uns uns aussi. D'autres qu'il fallait que je partage avec mon frère et ma sœur. J'essayais souvent de les faire écouter, Pour qu'ils puissent entendre les histoires des grands. Pas ceux dont on entendait, avec notre famille. Mais ceux de nos jeux. Mais ils riaient toujours. Je ne saurai jamais pourquoi c'était si drôle. Je me fâchais aussi avant avec eux. On ne me disait jamais pourquoi on riait. Il fallait garder les secrets pour nous-mêmes. Puis c'est rester comme cela. Toute notre vie. On avait nos codes. Probablement que c'est de là que provienne tous ces mots de passe. Ils ont gardé plein d'histoires aussi. Pour que l'on comprenne un jour. Il fallait suivre notre chemin. Nous, nous avons posé plusieurs fois les questions. Si c'était vraiment les chemins dont on voulait emprunter. Je ne crois pas tout.

Mais maintenant que j'avance dans mes histoires. Peut-être que je comprends que je nous le forge ce monde dont nous avons tellement rêvé. Plus jeune, et par la suite aussi avec mes professeurs. C'est certain que se sont des histoires différentes. Mais tant que c'est drôle on se reconnaît. La vie est meilleure dans ce temps là. http://www.youtube.com/watch?v=sS7wkRn5EZg&feature=related

 

Écoute en même temps ce que je te raconte. Les quelques chansons que je trouve. Parce que c'est aussi grâce à la musique. Comme les anciens qui ont pu retrouver leurs époques et leurs souvenirs.

http://www.youtube.com/watch?v=OZQKqju2Trg&feature=related

La chanson thème du film le fantôme d'amour. Je te berçais dans mes bras avec cette chanson. Ciel que tu aimais cela. Tu étais langoureuse dans mes bras. Tu m'as tellement fait rire mon enfant. Maman était tellement fière. C'était depuis tellement d'années que je n'avais pas vu ma mère. Elle était tellement heureuse de me comprendre autant, de t'aimer. Elle me comprenait. J'ai aimé le monde entier avec toi dans mes bras. Je me suis relevé de tous mes enfants avec toi.

Je recommence une nouvelle vie.

C'est l'histoire tragique en fait d'une femme qui perd son amoureux, cette histoire. Il se fait tué. Il revient en fantôme et il se fait aidé par une diseuse de bonne aventure. Ils ont toutes sortes d'aventures. C'est drôle, mais en même temps l'histoire raconte que son amoureux reviens pour retrouver la paix. Parce que c'est une histoire d'amour fichu. On découvre finalement que le meurtre s'est fait à partir de un de ses collègues qui était probablement jaloux de lui. Puis ils ont trafiqué de l'argent bancaire par des transferts de données. Alors il gagne parce qu'il fait marché sa femme qui le comprend par ses rêves. Cette diseuse de bonne aventure qui elle comprend ce que son mari dit et essaie de lui faire comprendre qu'il est là. Elle le croit. Finalement le collègue se fait attrapé. Puis on retrouve celui qui a été payé pour faire ce dégât. C'est une belle histoire d'amour avec une belle morale. On veut presque y croire. C'est que dans un sens les bons gagne toujours tôt ou tard. La chanson dans le film est tiré d'une chanson d'époque des années l950, du temps de tes grands parents, mes parents. Alors je t'ai serré sur mon coeur avec cette musique. C'était une autre activité dont j'ai dévelppé avec tes frères aussi. Un jeu que l'on s'inventais.

J'ai demeuré à coté d'une grande Église à Montréal. J'étais seule avec ma fille. Dans notre discipline, nous avons dansé en regardant ce film. Nous prenions des cours le dimanche dans les activités pour les enfants. Nous avons fait nos devoirs. Raconter au prêtre missionnaire ce que nous devions babriquer dans notre vie. Je me souviens de son prénom, père François, un missionnaire de France. Nous avons eu bien du plaisir avec lui. Ils nous laissaient parader toutes nos robes dans l'Église comme on le voulait, avec nos chapeaux et notre rouge à lèvre. Je comprends aujourd'hui, que c'était bien un grand homme celui-là. Parce qu'il comprenait, que l'on s'aimait beaucoup. Il savait que l'on chantait et dessinait. On nous savait bien occupé dans notre vie. Je crois que c'est comme cela que papa et maman ont compris. La famille se réunissait à nouveau. Nous étions presque heureux. C'est certain que nous avions la vie devant nous, mon enfant et moi. Nous avons  raconté à tout le monde de ta naissance. Nous devions apprendre à vivre, à nouveau à chaque jour. Tu m'as fait recommencer à comprendre mon dessin. Comme c'était drôle cet enfant dans mes bras. Si elle m'aimait. Elle demandait plus d'attention que les autres. C’est pour cela que je me suis acharné à étudier à la petite école encore. Malgré l'Université que j'avais dans le corps. Nous en avons conclu que c'était meilleur pur la santé.

Alors lorsque l'on entendait cette chanson. Je me sentais très haute et très protégé avec toi dans mes bras, et c'est comme si je te racontais tout. J'ai recommencé à vivre ma vie depuis ta naissance. Je te disais toutes mes peines et mes joies. Je te disais ce que j'avais dans le cœur et dans l'âme. Pour que tu me comprennes. Je t'ai écris depuis que je te portais encore. Je voulais apprendre à t'aimer aussi. Je me sentais coupable parce que tu ne pouvais pas voir ton père. Alors on se disait tout. Pour arriver à résoudre ce problème un jour. Tu ne manquais de rien. J'ai ramené tous mes amours, tout ce que j'ai aimé pour faire une nouvelle pate. Tout ce que j'ai connu de joie, pour te dire que peut-être ce n'était pas de ma faute. Pour que tu me pardonnes aussi un jour. Je t'ai fait grimper des cordes tu avais trois ans. Je t'ai montré comment haut que l'on pouvait être et penser. J'ai obéi aux moindres détails, pour que tu comprennes, que c'était la vérité aussi. On pouvait peut-être aimer un homme dans notre vie. Mais ce n'est pas pareil à de grands amours dont j'ai appris. Je devais t'en parler. Nous avons lu des tonnes de livres d'enfants. Tu as même appris à en choisir des favoris. Tu étais si drôle. C'est pour cela que j'ai vraiment appris à jouer avec des poupées comme il faut. Pour que peut-être tu ne coupes pas leurs cheveux, ni ne les brise. Puis j'ai gagné. Je m'étais promise qu'un jour lorsque j'aurais une fille, j'apprendrais à coudre ses robes. Je l'ai fait. J'ai réappris à dessiner pour toi, parce que tu pleurais lorsque je le faisais avec mes techniques. Ou bien cela te faisait mal. Je devais réapprendre à mieux comprendre ma technique. Ce que je voulais inventer. Alors j'ai tout fait cela et plus encore pour toi. Je ne pourrais jamais aimer un homme aussi grand. Mais dis-toi, que c'est à partir de ces grands hommes que j'ai vraiment appris à croire que l'amour existait. De comprendre l'amour comme tel, n'est pas évident. Je ne le savais pas. On comprend plutôt que nous ne le somme pas aimé. Ce doit être quelque chose que l'on doit apprendre individuellement dans la vie. J'ai même eu le courage à ce moment là d'appeler au téléphone mon amour d'enfance pour faire la paix. Je crois. Lui demander comment était sa vie maintenant. Je voulais lui parler de toi. Du nom que je voulais te donner, Andréa. Puis, je ne pouvais pas. Je t'ai donné un vrai nom, Adora, une ville d'Israël mon enfant. J'ai cherché, puis j'ai trouvé, que c'est une ville dans la bordure sainte, en rapport à des histoires juives. Dont nous devrons un jour continuer à chercher. J'ai étudié mes limites dans ma vie.  Les sciences aujourd’hui, sont éclatées. Cela veut dire que les grands maîtres de tous les temps ont trop compris. Ils ont exagéré. Alors dans ma vie c'est un peu ce que j'ai voulu comprendre pour moi. Quelles étaient mes limites. J'ai obéi sans m'en RENDRE COMPTE. C'est comme cela pour certaine gens dans la vie. J'ai aimé vraiment peut-être qui sait quelqu'un Adora-France. Je t'ai donné l'amour, que j'ai inventé. Je ne sais pas si s'en est. Mais j'ai peur maintenant, depuis que tu n'es plus là. Je t'attends, tu m'attends, c'est de la grammaire et de la musique. Tes frères voulaient que je continue à aimer les hommes. Je les aime. Mais aimer d'amour quelqu'un c'est bien différent.

Ton grand-père est décédé maintenant il y a deux ans. Il n'est plus parmi nous. C'était tout un chef. Je m'ennuie de lui mon bébé. Ce n'est pas facile de comprendre les réalités de la vie. Je dois toujours faire mon sens toute seule maintenant. On dirait que j'avais appris à revivre avec toi. Toute le casse tête se replaçait. Même avec tes frères Adora. Cela n'est plus pareil sans toi. Sans nous.

Je sais que ta grand-mère à investi son cœur. J'ai finalement compris qu'ils s'aimaient ces deux là. C'est bon de comprendre l'amour. Surtout celui qui nous appartient. C’est normal et bon pour la santé.

Aujourd'hui, nous avons l'ainé des Socquié qui est par hiérarchie le père maternel remplace mon parent. Enfin je comprends mieux aussi, ces histoires d'enfants. Laisse moi t'en raconter quelques unes. 

Moi je vais mieux maintenant. Nous avons des tonnes d'amis je crois. Mais cette fois ils ne partiront plus de notre vie. Comme ceux que nous avions lorsque tes frères grandissaient. Tu comprends. Ce sont des gens d'habitudes qui restent dans notre vie pour toujours. Des amis ou plus encore. On ne peut pas tout s'expliquer. L'important c'est de comprendre que nous ne sommes pas seuls.

J'ai fait un grand rêve cette nuit. Je fais du bon sens avec mon rêve. Lis l'histoire que je raconte. Je promets que je vais en écrire d'autres.

Je voudrais dont changer le monde comme quand j'avais quinze ans. C'est une manière de parler je crois. Mais c'est bien normal, lorsque l'on désire aussi fort que tout aille bien.

Tu te détache de moi je pense. Mais je sais que c'est temporaire. Tu vas apprendre que chez-nous, nous sommes très unis, Les mères et filles particulièrement. Tu as été là mon enfant. À me faire écouter. Pour me faire comprendre jour après jour, de ne pas m'oublier jamais. Je comprends mieux ma propre mère. C'est comme cela. Un jour peut-être que tu voudras lire. Mais je crois que tu comprends déjà. Sache que ce sont des sortes de preuves pour que si cela t'arrive à toi aussi. Bien alors tu pourras à ton tour faire ton bon sens.

 février 2008

S n o w f l a k e s
@

M
o n
P
i e r r o t

 
Droits D'Auteurs et Signatures Protégées
Les dessins, les oeuvres et les photos sont de Francine Socquié Ce site web a été créé gratuitement avec Ma-page.fr. Tu veux aussi ton propre site web ?
S'inscrire gratuitement